NEY Michel (1769-1815)

par
Ce Sarrois engagé dans l’armée française et remarqué par Napoléon fut nommé maréchal en 1804. Il participa glorieusement aux victoires d’Elchingen (dont il fut fait duc), d’Austerlitz, d’Iena, de Friedland et de la Moskova (dont il fut fait prince), et sauva des milliers d’hommes durant la retraite de Russie. Après l’abdication de 1814, il se rallia à Louis XVIII mais reprit du service auprès de Napoléon durant les Cents-Jours. Condamné à mort après la seconde Restauration, il fut fusillé devant l’observatoire à Paris.
- Acte de décès de Michel Ney - Paris.
- L’exécution de Ney par Gerôme.
Une énigme historique, ayant de fervents partisans comme de farouches détracteurs, voudrait que Ney, franc-maçon comme Wellington, aurait été aidé par ce dernier à joindre les Etats-Unis où il serait mort beaucoup plus tard et inhumé. Après un simulacre d’exécution, un tiers aurait pris la place du cadavre.
Commentaires