Denise Vernay, agent de liaison dans la Résistance et déportée à Ravensbrück, est décédée à l’âge de 88 ans.
Née Jacob, elle était la sœur de Simone Veil. Celle-ci, leur sœur aînée Madeleine et leur mère avaient été déportées en avril 1944 à Auschwitz, le camp d’extermination d’où les deux sœurs étaient revenues mais pas leur mère. Elle était commandeur de la Légion d’honneur, grand’croix de l’ordre national du Mérite et titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 avec palmes et de la médaille de la Résistance avec rosette.

« …L’inhumation des cendres aura lieu dans l’intimité ». Lu dans le « Carnet » du « Monde » de ce soir.

Il s’agit de celles, de cendres, du cinéaste Boramy Tioulong, né en 1940 et décédé à Paris le 22 février 2013.

Film le plus notoire, « Boulevard des Assassins », avec Jean-Louis Trintignant et d’après un livre de Max Gallo.

Dans « Libération », pour mémoire, lors du festival de Cannes 2006, à propos de Gallo :

« Né en 1932 à Nice, Max Gallo est notamment l’auteur d’une trilogie intitulée la Baie des Anges. En 1976, il avait publié Une affaire intime, chronique d’un hiver dans une ville du Sud, roman qui démontait avant l’heure le système Médecin. Un film en sera tiré, Boulevard des assassins, qui tiendra un après-midi dans les salles niçoises... »

Harvey Lavan Cliburn, pianiste américain qui avait remporté en pleine Guerre froide la première édition du Concours international Tchaïkovski à Moscou, est mort en Louisiane le mois dernier, à l’âge de 78 ans. Il fit à l’époque la une de Time Magazine. http://img.timeinc.net/time/magazine/archive/covers/1958/1101580519_400.jpg

La mort le 27 février de Françoise SELIGMANN à l’âge de 93 ans. Ancienne sénatrice, résistante et militante féministe.

L’ancien ministre Henri Caillavet est décédé la nuit dernière à l’âge de 99 ans.
http://www.liberation.fr/politiques/2013/02/27/mort-d-henri-caillavet-ancien-ministre-grande-figure-du-radicalisme_885164

Le grand chef d’orchestre allemand Wolfgang Sawallisch, qui a dirigé l’Opéra d’Etat de Bavière durant vingt ans et avait travaillé avec Dietrich Fischer-Dieskau, est décédé le 22 février à 89 ans.

Le chanteur et guitariste Kevin Ayers, co-fondateur du groupe psychédélique Soft Machine, est mort le 18 février, à l’âge de 68 ans, à Montolieu, village de l’Aude où il résidait.

cp, j’aime toujours beaucoup vous lire.

Ca fait des mois qu’il n’y a plus eu une grosse pointure qui a fait l’actualité avec son décès. Ca commence à devenir sérieusement agaçant. Ils ne se rendent pas compte, tout ces nantis, qu’ils sont en train de tuer ce site...

Frères jusqu’au bout ! Deux universitaires, normaliens d’Ulm, Etienne Bernand et André Bernand, nés en 1923. Tous deux hellénistes. Le 17 février, Etienne meurt. Et quelques heures ensuite, c’est André qui décède…

Les cendres d’André seront dispersées à Voncq, sa résidence secondaire. Etienne reposera au cimetière de Montrouge.

(Déduit du carnet du Monde de ce soir)

Le chanteur et guitariste Tony Sheridan, qui jouait dans les clubs de Hambourg, avec les Beatles, au tout début des années 60, est mort ce 16 février, à l’âge de 72 ans.

Árpád Miklós, né le 11 septembre 1967 à Budapest et mort le 3 février 20132 à New York, est un acteur hongrois de films pornographiques gay

Bravo pour votre site dont je suis un fidèle lecteur.
N’oublions pas André Chaumeau,grand second rôle qui nous à quitté le 30 janvier 2013.C’est par hasard que je vient d’apprendre son décès dans l’anonymat.
C’est bien dommage pour ce grand acteur

Ce qui pourrait passer pour un tragique, mais malheureusement trop fréquent va plonger le monde de la moto dans une profonde tristesse. Jean-Claude Olivier un personnage à la carrière hors du commun.« Samedi 12 janvier 2013, sur l’autoroute A1 en direction de Paris, un routier perd le contrôle de son véhicule, traverse le terre-plein central, et se retrouve de l’autre côté de la voie rapide. Un 4X4 ne peut éviter le camion. Son conducteur, Jean Claude OLIVIER décèdera peu après des suites de ses blessures. Sa passagère et le chauffeur du camion seront légèrement blessés.

L’ancien patron de Yamaha et coureur moto français aura marqué le monde de la fabrication des deux roues et de la compétition sportive, mais aussi empreint son action de valeurs chrétiennes très nettes.

Né en février 1945, il était le fils de Gonzague Olivier, sportif automobile accompli (il remporta les 24 heures de Paris en 1955), ce qui influera sur sa destinée. Dès 1964, il est aux commandes d’une entreprise française tout juste constituée important des motos japonaises de marque Yamaha. C’est le début de la grande aventure. Olivier se montrera vite pugnace et compétent : à partir de 1968, la firme devient la deuxième en nombre d’immatriculations en France. À la même époque, il procure une machine d’usine à Jean Auréal qui devient alors en 1969 le premier Français à remporter un grand prix de vitesse depuis 15 ans. Il impose peu à peu la marque et devient réputé pour son exigence et son travail infatigable, mais aussi pour sa droiture et son intégrité. L’ascension est irrémédiable. En 1977-78, il domine le marché français, devançant Honda, puis reprend la première place en 1989 pour ne plus la quitter jusqu’à sa retraite en 2010. Il permit également la reprise de Motobécane par Yamaha en 1984. Il garda le respect et la confiance de ses commanditaires japonais, confiance qui lui fut renouvelé lors de la création de Yamaha Motor France en 1992.

Mais sa grande passion, le domaine où il se distingua aux yeux du grand public demeure la compétition. En plus d’avoir soutenu plusieurs champions pilotes de ses véhicules (Patrick Pons en 1979, Christian Sarron en 1984, Jacky Vimond en 1986) il participa lui-même à plusieurs compétitions, obtenant notamment la deuxième place à l’édition 1985 du Paris-Dakar.

Et si sa route a malheureusement croisé ce poids-lourd le samedi 12 janvier, non !... Elle ne s’est pas arrétée là. Au revoir Monsieur Olivier, mais pas adieu. Continuez de là-haut à veiller sur vos proches, amis, collègues, pilotes, comme vous avez toujours su le faire.

ses obsèques furent célébrées à la cathédrale Saint-Louis de Versailles le 17 janvier 2013

Les obsèques religieuses de l’acteur Bernard Dhéran ont eu lieu le 5 février dernier à l’église Saint-Roch de Paris... donc, A SUIVRE :
http://www.purepeople.com/article/obseques-de-bernard-dheran-corinne-touzet-claude-rich-et-le theatre-en-deuil_a114974/1

Andrée Putman est enterrée au Père Lachaise, selon http://www.thestylesaloniste.com/2013/01/andree-great-my-tribute.html

La résistante Gisèle Guillemot, qui avait été déportée à Ravensbrück, est décédée à l’âge de 90 ans à Paris (VIIe) où elle résidait. Née le 24 février 1922, Gisèle Guillemot avait participé très jeune au Front Populaire. Dès le début de l’Occupation, elle entre en résistance avec des camarades de sa cité dont certains sont arrêtés par les gendarmes qui les livrent aux Allemands. Quatre de ses camarades seront alors fusillés ou tués par les Allemands.
La jeune fille adhère au Parti communiste, alors illégal, et entre au Front National, mouvement de résistance communiste, pour l’indépendance de la France. Agent de liaison sous le pseudonyme d’« Annick », elle est arrêtée par la Gestapo en avril 1943 alors que ses camarades sont arrêtés par la Brigade spéciale de Rouen. Condamnés à mort le 13 juillet 1943 par un tribunal militaire allemand à Paris, quatorze hommes seront fusillés au Mont Valérien. Gisèle et Edmone Robert, sont aussi condamnées à mort et déportées vers l’Allemagne, la loi allemande interdisant de fusiller les femmes.
Après un interminable voyage en train de près de 90 jours, elle fut transférée au camp de Ravensbrück puis, en mars 1945, à Mauthausen où elle est fut libérée le 20 avril 1945 par la Croix-Rouge internationale. Dans les camps, elle avait écrit des poèmes qu’elle publiera en partie après la guerre. En 2001, elle avait publié « De Colombelles à Mauthausen » (L’Harmattan) et témoignait inlassablement de la guerre et de la déportation dans les écoles et jusque sur les plateaux de télévision.
Gisèle Guillemot est commandeur de la Légion d’honneur et titulaire de la médaille de la Résistance.

Le jockey Jules Lepennetier, vainqueur du Prix d’Amérique en 2000, est décédé ce samedi à Rennes.

heureusement que ce site existe , sinon le nombre d’artiste qui s’en vont ne serait pas connu .je pense a alain scoff qui m a bien fait rire, la tele et la radio muette je n ai rien entendu.
ou il est le temps ou on n hésitait pas a déprogrammer une émission ou un film pour un hommage au disparu .mais c est vrai cela ne rapporte pas assez aux actionnaires peut etre, ou simplement un manque de courtoisie pour ne pas dire de politesse.
j espere qu il a rejoint son ami bruneau pour amuser les anges.
bien cordialement et mes meilleurs pensées a la famille

vous êtes génial de penser aussi aux animaux.
après Toccata, voilà Ourasi qui était- cher même à ceux qui ne fréquentent
pas les courses. il est heureux que ses propriétaires l’aient laissé tranquillement
au pré vivre sa retraite et qu’il n’ait pas fini sur l’étal d’un boucher ou dans une
boite pour les chiens !!!!
peu de ceux qui apportent la fortune à leurs maîtres finissent aussi bien !

@hugongerard

je confirme le décès d’Aude Amiot, le 30/08/2012 à Tours à l’âge de 48 ans. Après crémation, les cendres ont été dispersées dans l’un des jardins du souvenir ducimetière de Tours Sud.
Sa filmographie : 1993 HÉLAS POUR MOI de Jean-Luc Godard / 1993 LA NAGE INDIENNE de Xavier Durringer / 1993 LA FOLIE DOUCE de Frédéric Jardin / 1995 LE CŒUR FANTÔME de Philippe Garrel / 1996 Drancy Avenir de Arnaud des Pallières

cordialement / Nicolas