Oui, un dinosaure...Bref, pas une grande originalité : reprendre des standards Américains, et faire des adaptations à la Franchouillarde...
Dans les années 60, avec les yéyés, on faisait comme on gave les oies : prendre en Amérique, faire vite un disque...Bref, une marchandise comme une autre, à l’heure ou ouvraient les premiers supermarchés (un hasard ?)
à l’époque, on prenait un jeune bourgeois de Neuilly pour en faire un chanteur, pas quelqu’un des classes populaires, bien entendu !!! (un ouvrier est souvent inculte, il parait, à cette époque...)
Aujourd’hui, pas besoin d’aller aux USA ou à Neuilly, il y a Endemol, et la Star’ac... Plus besoin de mettre un « y » à son nom de scéne final...
L’artiste est devenue une marchandise comme une autre : il vit couché sur une couette, ou un matelas, il raconte des choses malsaines à longueur de journée,il recherche un« grand frére », ou « une grande soeur » et il à peur d’être manipulé, ou manipuler les autres... et il vit dans un loft, ce fainéant... Je passe sur les autres clichés...
Tout un programme !!!
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