On croit comprendre que Juliette Mills aura tapé dans l’œil de Daryl Zanuck, « womanizer » hollywoodien qui de Juliette Gréco à Irina Demick en passant par Bella Darvi (Darvi pour Daryl et Virginia son épouse) aura beaucoup aidé les jeunes françaises ambittieuses…
Je crois me souvenir avoir entendu il y a douze ans Juliette Mills sur Radio Courtoisie, invitée de Serge de Beketch (Journaliste et ex auteur de BD, devenu journaliste très droitier, avec une gouaille genre Coluche mais en très réactionnaire). Pour ça que la rencontre Ferrat Mills m’a fait sursauter !
Juliette était en pleine extase mystique et doloriste : Elle avait failli perdre la vie dans un accident de la route, semblait-il, et faisait part sa grande frayeur rétrospective, blessée sans sa chair. Mais où elle me sidéra, c’est quand elle accepta sans ciller d’entendre de Beketch lui attribuer des films de son homologue anglaise Juliet Mills ! Fille de John Mills…
Notamment le merveilleux « Avanti » de Billy Wilder, dans lequel Jack Lemon est subjugué par l’anglaise un peu dodue, dont le bassin… « Méditerranéen » subjugue l’américain coincé lors d’une séance de nage où les maillots de bain ont été oubliés…
« Avanti » est un chef d’œuvre de la comédie et du film géopolitique qu’il faut absolument voir.
Bref, jouer sur l’homonymie pour étoffer son palmarès, fallait oser !
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