RANTECHAUX (25) : cimetière
par
Petit cimetière tout en longueur au milieu des champs, c’est sans difficulté que l’on débusquera la sépulture de la personnalité du lieu.
Journaliste parlementaire et historien, Jean-Raymond TOURNOUX (1914-1984) entra en journalisme à l’âge de vingt ans. » Il collabora à L’Éclair comtois et à La République de l’Est (1934-1939). Rédacteur à la radiodiffusion de 1941 à 1946, chef de service au journal Libération de 1944 à 1948 puis à Ce Matin (1949-1950), il devint éditorialiste à L’Information de 1950 à 1955, à Combat et au Progrès de Lyon (1945-1962).
À partir de 1949, il travailla à Paris-Match, dont il devint directeur des services politiques en 1964, jusqu’à son départ de l’hebdomadaire en 1976. Jean-Raymond Tournoux termina sa carrière de journaliste comme éditorialiste au Figaro, de 1976 à 1980, collaborant occasionnellement durant la même période, au Monde et à La Revue des Deux Mondes.
Parallèlement à son métier de journaliste, il accomplit une œuvre d’historien, couronnée par son entrée à l’Institut de France : en 1981, il devint membre de l’Académie des Sciences morales et politiques. En effet, après le succès de son premier ouvrage, Carnets secrets de la politique, Jean-Raymond Tournoux publia un ouvrage tous les deux ans.
Commentaires