CLAUDEL Camille (1864-1943)

dimanche 1er janvier 2017
par  Philippe Landru


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CLAUDEL Camille (1864-1943)
vendredi 26 janvier 2018 à 20h43 - par  Scheidecker

C’est amusant, si on peut dire de redécouvrir un dictionnaire Larousse de 1980. Vous trouverez à « C » comme Claudel... Paul. Et puis c’est tout !
Huit ans plus tard, un film nous fait découvrir ( ou redécouvrir pour les plus cultivés) que Paul avait une sœur, Camille.
Cette sœur oubliée, souillée par le temps et l’oubli.
Cette sœur, génie méconnu à l’existence en forme de douleurs elle qui ne rêvait que de douceurs.
La belle Camille amoureuse de son Rodin.
On ne peut aujourd’hui que pleurer l’abandon du maître, de sa famille, s’interroger sur l’attitude incompréhensible de son frère même après la mort de la reine mère.
Cette solitude, ce néant ; Ce long abandon, cette douleur encrée en son âme trahie qui ne mènera qu’à la mort dans un asile de vieillards à une époque damnée au sein de laquelle dans les hospices on mourrait de faim.
On ne peut que penser... Qu’il fallait juste t’aimer.