@ cp. Une question m’est venue à l’esprit quand, il y a quelques instants, j’ai lu votre chute « Y a une justice » : cette chute est-elle humoristique ? Peut-être... ou peut-être pas : ces quatre mots, quand on les retourne, dégagent une odeur - n’employons pas le mot « parfum » - nauséabonde... Car dans le pire des cas, c’est que vous considérez que cet homme n’étant après tout qu’un nazi, il méritait amplement sa mort atroce (que je ne me souhaite pas, personnellement !).
Ou alors, si vos pensées ne vont pas jusque là, c’est Arletty que vous jugez ; si vous en avez le temps, allez sur « google », tapez « arletty » et « amant » et lisez le récent article de « L’Express » qui apparaîtra en toute première position : peut-être vous fera-t-il changer d’avis sur la liaison d’Arletty, même APRÈS la guerre, avec un homme qu’elle a visiblement aimé...
Moi, j’aurais tendance à ne pas la condamner, car si amour il y avait, qui suis-je pour le critiquer ? Non, décidément, je flaire dans votre « Y a une justice » un sentiment revanchard que je ne partage pas.
Je vous remercie d’avoir pris la peine de lire ces quelques lignes.
Cordialement,
Michel Schreiber
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