Et Edith Boulogne ?...
Ah, je ne peux pas vous le dire ! La famille ne nous l’autorise pas.
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Je me demande si j’avais demandé Edith Arnold, si la réponse aurait été aussi rapide ! La dame de la conservation a répondu sans même activer son ordinateur. Edith était la mère d’Alain Delon qui, parait-il, aurait manifesté ces derniers temps la volonté de reposer auprès d’elle.
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J’ai commencé par déstabiliser la conservatrice en lui demandant où était... Claude François
! Lui précisant tout de suite qu’il s’agissait d’un homonyme, qui habita à moins de cent mètres de l’entrée du cimetière, l’ayant un jour raccompagné en voiture, je le savais. Comme l’autre, né en 1939, mort en 1999, après six mois de retraite. C’était mon grand chef à EDF. Quand on pense comment est mort Cloclo... Il devait déménager à Sceaux, comptant y prendre sa retraite. Mais je ne l’y ai pas trouvé, et il est mort à Bourg-la-Reine. Ils ont eu tous deux une vie trépidante, dans leur domaine, ça se paye. Une décharge pour l’un, une attaque cérébrale pour l’autre. Qui n’est pas à BLR.
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Pour ne pas faire chou blanc, j’ai tenté Michel Pinçon. Là, la dame a fait parler l’ordinateur. Pas de tombe pour le moment, mais la terre nue. Et redescendant, je croise une jeune fille toute mince et timide, au regard implorant, et qui me chuchote : « Savez-vous où est Michel Pinçon ? ». Les Pinçon-Charlot, à Bourg-la-Reine, des stars du rock’n’roll !
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