NICE (06) : cimetière de Caucade

visité en août 1998
mardi 5 février 2008
par  Philippe Landru

Beaucoup de photos de tombes manquent pour ce cimetière : quand je l’ai visité en 1998, j’étais encore à l’argentique et j’économisais les photos !... J’y retournerais, mais ci d’ici-là un ou une Niçoise veut compléter, ce sera volontiers...

Ouvert en 1867, situé à l’ouest de Nice, le cimetière de Caucade est le plus grand de la ville mais n’est pas le plus fameux, le cimetière du Château lui ravissant la notoriété (il est vrai que son site est plus attractif et ses mausolées plus imposants). Il se présente comme tous les cimetières de ce type : allées bordées d’arbres touffues mais divisions assez minérales. Dédié au Grand Duc héritier Nicolas Alexandrovitch, mort deux ans auparavant, le cimetière de Caucade témoigne de l’importance de la diaspora russe dans la ville, en particulier après la Révolution de 1917 : de nombreux tombeaux de l’aristocratie russe s’y trouvent.


Curiosités


- La petite fille de l’écrivain russe Alexandre Pouchkine y fut inhumée (Elena Pouchkine-Rosenmeyer). Ses restes furent jetées à la fosse commune, mais un hommage lui fut rendu en 2007 et une plaque, fabriquée à moscou, fut déposée à l’emplacement de sa tombe.


Les célébrités : les incontournables...


- CARTON Marcel
- DESBOUTIN Marcellin
- GOSCINNY René (ancienne tombe)


... mais aussi


- Alfred AGOSTINELLI (1888-1914) qui fut le chauffeur, puis le secrétaire de Marcel Proust. Ce dernier tomba fou amoureux de ce monégasque d’origine modeste, mais ce ne fut pas réciproque, et Agostinelli finit par s’enfuir avec sa campagne de chez Proust. Il s’écrasa en mer pendant un vol en solitaire, au large d’Antibes. Proust s’inspira de lui et de son destin pour son personnage d’Albertine (carré 4).

- La cuisinière Hélène BARALE (1917-2006), qui avait reprit le restaurant familial de la rue Beaumont, était une institution de Nice : cette spécialiste de la cuisine niçoise fit accourir dans son établissement le monde entier, et son livre de cuisine reste une référence pour la confection des raviolis, de la pissaladière ou des beignets de courgette ! Selon ses dernières volontés c’est un corbillard tiré par des chevaux, qui conduisit son cercueil jusqu’à l’église, puis au cimetière. Toutes les édiles des Alpes Maritimes assistèrent à ses obsèques .

- BERVAL (Antonin Pasteur : 1891-1966) chanteur fantaisiste doté d’un physique avantageux, il se produisit à Paris et à Marseille dans les années 1920 (il joua le rôle principal de l’opérette Pas sur la bouche de Maurice Yvain). C’est surtout en tant que comédien que le grand public le connaît. Il tourna au cours des années 1930-1950 dans de nombreux films de « veine provençale » : Maurin des Maures (1932) , Justin de Marseille » (1934) de Maurice Tourneur, sur une musique de Vincent Scotto, aux côtés de Tino Rossi, jeune débutant, ou encore Une java (1938) de Claude Orval, avec Fréhel qui y chantait sa célèbre Java bleue…(bordure carré 40 face 42)

- Laurent BOVIS (1899-1953) : mobilisé en août 1939 dans un bataillon de pionniers alpins, il prit part à la campagne de Norvège en avril et mai 1940. Replié en Grande-Bretagne avec l’ensemble du corps expéditionnaire, il s’engagea comme volontaire dans l’armée canadienne dès juin 1940. Il rejoignit les FFL et s’embarqua pour l’opération de Dakar en septembre 1940 avant de rejoindre le Cameroun. Il participa à la campagne d’Erythrée et des Somalis. En juin 1941, il prit part à la campagne de Syrie puis combattit en Libye. Après les opérations de Tunisie, il fut affecté à la 2e DB et, à ce titre, débarqua en Normandie en août 1944, prenant part à toutes les campagnes de son unité : Normandie, Paris, Vosges, Alsace. Il servit en Indochine et en Algérie après la guerre. Il fut fait Compagnon de la Libération (carré 3).

- Le pilote de chasse Louis DELFINO (1912-1968), qui rallié à la France libre, fut envoyé par De Gaulle en URSS afin de compléter la formation et l’organisation d’une escadrille de pilotes français, qui allait devenir l’escadrille Normandie-Niémen, et dont il prit la tête. Il exerça après la guerre des commandements prestigieux. En 1965, il entra en politique et tenta, en vain, de ravir, sous les couleurs du gaullisme, la mairie de Nice à Jean Médecin (carré 40,deuxième rang face 28).

- La chanteuse Lucienne DELYLE (1917-1962), qui fut remarquée à un radio-crochet par Jacques Canetti qui l’engagea : en 1942, elle enregistra ce qui restera son plus grand tube, la chanson devenue mythique Mon amant de Saint-Jean (à tel point que l’on croit que c’est une chanson beaucoup plus ancienne). Elle fut une chanteuse très populaire jusque dans les années 50, enregistrant d’autres tubes (Nuages, Sur les quais du vieux Paris...). Lucienne Delyle est une chanteuse intéressante dans la mesure où sa voix langoureuse et éthérée marque la transition entre la gouaille des chanteuses réalistes (Berthe Sylva, Fréhel), et les voix de music-hall et cabaret plus intimistes (Catherine Sauvage, Barbara...). Sur sa tombe est représenté son visage (carré 66).

- La violoniste Gabrielle DEVRIES (1915-2001), qui fit une carrière de soliste internationale (carré 17, bordure face à 15).

- Yves FARGE (1899-1953) : journaliste devenu pacifiste, il quitta le parti socialiste après les accords de Munich. Il entra dans la résistance et, dès 1941, collabora aux premiers journaux de la Résistance. Il contribua à la fondation du mouvement Franc-Tireur et écrivit pour les Editions de Minuit et Les Lettres françaises. Il fut chargé par Jean Moulin de la mise au point du projet d’organisation militaire du massif du Vercors et fut traqué par la Gestapo et la police de Vichy. Au mois d’avril 1944, sur proposition du CNR et du Front national, il fut nommé par le général de Gaulle Commissaire de la République pour la Région Rhône-Alpes : il dut alors jeter les bases de la future administration, désigner et mettre en place les préfets, maintenir les liaisons avec les maquis, relancer la reprise économique et assurer le ravitaillement avant même la libération complète du territoire qu’il a en charge. Il organisa les secours après la terrible invasion du plateau et de Vassieux-en-Vercors par les parachutistes allemands le 21 juillet 1944. Le 21 août 1944, douze jours avant la libération de Lyon, il parvint à se faire remettre les clés du Fort Montluc par le général allemand qui tenait la garnison de la ville, sauvant ainsi, in extremis, 800 otages risquant d’être fusillés. Après la libération, le 3 septembre 1944, il assure pendant un an ses fonctions de Commissaire de la République avant de reprendre son métier d’écrivain et de journaliste et la peinture. En juillet 1946, il fut envoyé comme délégué du gouvernement pour assister aux expériences atomiques qui se déroulaient sur l’atoll de Bikini. A son retour, il fut nommé ministre du Ravitaillement. Il reçut en 1952 le Prix Staline pour la Paix (devenu ensuite le Prix Lénine pour la Paix). Il décéda à Tbilissi en Géorgie dans un accident automobile. Il était Compagnon de la Libération (Bordure du carré 38 face à la 36).

- Le peintre niçois Joseph FRICERO (1807-1870), auteur de portraits délicats et de paysages très variés, car il voyagea beaucoup. Il avait épousé la fille naturelle du tsar Nicolas Ier de Russie (carré 4 face au carré 6).

- Le sexologue allemand Magnus HIRSCHFELD (1868-1935), qui fut un des pères fondateurs des mouvements de libération homosexuelle. Il lutta contre la persécution des homosexuels en vertu du paragraphe 175. Il défendit la thèse du caractère inné de l’homosexualité - ce qui par conséquent devait plaider contre sa condamnation pénale. C’est dans sa maison que fut créé, en 1897, la toute première organisation politique mondiale en faveur de l’égalité des droits hétérosexuels - homosexuels. En 1934, il dut fuir l’Allemagne en raison de l’arrivée des Nazis qui détruisirent toutes ses archives : il mourut à Nice peu de temps après (carré 9).

- Fernand ICART (1921-2008) : chef d’entreprise reconnu et acteur économique de premier plan, ce Républicain indépendant puis UDF fut député du département de 1963 à 1981. Entre 1977 et 1978, il fut ministre de l’Équipement et de l’Aménagement du territoire (bordure du carré 54).

- José LUCCIONI (1903 - 1978) fut un ténor dramatique avec beaucoup de puissance dans le registre supérieur. On retiendra de lui, particulièrement, les rôles de Samson, Don José et Otello, mais il était aussi à l’aise dans les rôles plus lyriques comme Werther, des Grieux et Nadir. A la fin de sa vie, il était directeur de l’Opéra de Nice (carré 68).

- Le chef de bataillon et Compagnon de la Libération Jean MAGNE (1916-1958), qui participa à la libération de la France, tant dans l’aviation que dans l’Armée de Terre, aux combats en Indochine et qui mourut en Algérie, sa jeep ayant roulé sur une mine. Inhumé dans un premier temps à Aïn Temouchen, son corps fut ensuite rapatrié dans ce cimetière (carré 32 militaire).

- L’industriel Jean MANTELET (1900-1991). L’anecdote est connue, peut-être mythique : c’est parce qu’il se plaignait que la purée confectionnée par sa femme contenait de trop gros morceaux de pommes de terre que Jean Mantelet inventa en 1932 la moulinette à légumes. Distingué par le concours Lépine, il décida de commercialiser son invention : c’est ainsi que naquit la société Moulin-légume, qui se diversifia ensuite dans l’électro-ménager, et devint en 1957 l’entreprise Moulinex. Cette entreprise, que Jean Mantelet dirigea jusqu’à sa mort, connut un énorme succès dans le contexte des Trente Glorieuses et l’équipement des ménages (symbolisé par le fameux slogan : Moulinex libère la femme). Le succès s’expliqua également par des produits de qualité, où le design tint un rôle important, à usage facile et à des prix inférieurs au marché. Pourtant, à la mort de son fondateur, la crise commença pour Moulinex, due en particulier à la concurrence asiatique. Elle fut finalement racheté et absorbé en 2001 par SEB, qui ferma les usines Moulinex (carré 66, contre le mur).

- Louis NUCERA (1928-2000) : Employé de banque, journaliste, attaché de presse dans une maison de disque, directeur littéraire chez Lattès, écrivain, il publie son premier roman L’obstiné en 1970. Au travers de son œuvre, il retrace la vie des immigrés italiens (Le ruban rouge), évoque ses amitiés avec Cioran, Kessel, Picasso, Cocteau, Brassens ou Moretti (Mes ports d’attache), ou raconte son enfance niçoise (Avenue des Diables bleus). Il fut aussi l’auteur des Contes du Lapin agile. Louis Nucera a reçu le prix Interallié en 1981 et le Grand Prix de littérature de l’Académie française en 1993 pour l’ensemble de son œuvre. Il mourut fauché par un chauffard alors qu’il faisait du vélo.

- Le gourou Serge RAYNAUD de la FERRIERE (1916-1962), qui étudia l’ésotérisme, l’astronomie, l’astrologie ou encore le yoga, et qui fonda à Caracas à la fin des années 40 une grande confrérie universelle ayant pour but de développer la connaissance des « sciences antiques ». Il est peu connu en France mais très médiatisé en Amérique du sud. Il repose sous un obélisque sur lequel est inscrit « Honneur et gloire à la France, Maître Serge Reynaud de La Ferrière, Paris 18 janvier 1916-Nice 27 décembre 1962, revint en Europe en 1951 et vécut à Nice - fut le fondateur de la Fédération Internationale des Sociétés Scientifiques FISS et de Institution Mondiale de la grande Fraternité Universelle Mondiale à Caracas ». Le monument fut financé par ses adeptes américains.

- Henri SAPPIA (1833-1906) fut une des grandes figures érudites de Nice : docteur en lettres, en philosophie et en droit, journaliste, il participa au mouvement d’insurrection italien et fut même secrétaire de Mazzini. En France, il participa à la Commune, ce qui lui valut l’exil jusqu’en 1890. Revenu à Nice, il fonda en 1898 la revue Nice-Historique qu’il dirigea jusqu’à sa mort, et contribua activement à la création de l’Acadèmia Nissarda.

- Le comédien Jacques TOJA (1929-1996), qui fut sociétaire, puis administrateur de la Comédie Française, où il fit l’essentiel de sa carrière dans le répertoire classique. En 1984, il crée la Fondation Jacques Toja, destinée à promouvoir le théâtre contemporain. Si sa carrière fut essentiellement théâtrale, le grand public se souvient de certains de ses rôles à la télévision, en particulier son interprétation de Louis XIV dans la série des Angélique.

- Le médecin franco-russe Serge VORONOFF (1866-1951), qui fut un pionnier des greffes, et qui travailla essentiellement sur la recherche du rajeunissement : il se fit une spécialité de greffer des testicules de chimpanzés à des hommes désireux de retrouver leur vigueur atténuée par l’âge. Ses travaux, encensés par les uns, discrédités par les autres, reprirent de la vigueur récemment dans le cadre des traitements DHEA et Viagra ayant des finalités similaires. On a également dit que ces recherches de greffes de singes sur l’homme dans les années 20 avaient peut-être été à l’origine du SIDA. Il repose dans la section russe du cimetière.


Merci à Michel Schreiber pour la tombe Toja et le complément Hirschfeld.
Merci à Christophe Maumy pour les tombes Agostinelli, Bovis, Delfino, Farge et Icart.

Pour retrouver l’emplacement des tombes dans les cimetières de Nice : https://www.nice.fr/fr/etat-civil-moments-de-vie/deces-et-administration-funeraire


Commentaires

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une petite erreur
mercredi 25 août 2021 à 20h48 - par  Jean

Serge Raynaud de la Ferriere n’est pas inhumé au cimetière de Caucade mais au cimetière de l’Est à Nice ( chemin du bois sacré ).

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NICE (06) : cimetière de Caucade
mardi 14 juillet 2020 à 20h25 - par  Loris Di Giovanni

Si potrebbero avere foto della tomba di Henri Sappia. Grazie in anticipo.
Avv. Loris Di Giovanni

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NICE (06) : cimetière de Caucade
samedi 21 septembre 2019 à 10h25 - par  cp

Reposerait aussi dans ce cimetière Maurice Jaubert, grand musicien de cinéma mort au combat en 1940. Le chef d’orchestre veuf de Lucienne Delyle, Aimé Barelli, serait à ses côtés dans ce même cimetière.

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NICE (06) : cimetière de Caucade
mardi 20 août 2019 à 18h31 - par  cp

Albertine retrouvée...
.
«  Agostinelli a été enterré au cimetière de Caucade à Nice, dans une tombe qui a été sauvée de la démolition par un professeur niçois spécialiste de Proust, Jean-Marc Quaranta, tandis qu’à Cabourg, un festival dirigé par la pianiste niçoise Anne-Lise Gastaldi perpétue un automne sur deux les souvenirs proustiens. « Le souvenir d’une certaine image n’est que le regret d’un certain instant », écrit Proust dans le premier tome de la « Recherche du temps perdu »… »

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mercredi 21 août 2019 à 17h32 - par  cp

Et loué soit Georges Belmont dont l’exhumation des 50 heures d’entretiens avec Céleste Albaret, et diffusés partiellement sur France Culture il y a peu, a permis de se poser la question du devenir post mortem d’Alfred ! Belmont, le bien oublié, a interviewé Céleste, mais aussi Marilyn Monroe ! Il y a peu sa fille Sophie, interloquée, s’est vue contactée par Chanel (Enfin, les Wertheimer), qui voulait acheter les droits de la voix de Marilyn évoquant son rapport (Vestimentaire…) au N°5 dans l’interview du père. Belmont, normalien défroqué a copiné avec le répétiteur d’anglais d’Ulm, Becket, a traduit Joyce, fut le premier éditeur de Césaire, passa par Vichy dans le cabinet de Georges Lamirand, changea de nom ensuite pour faire oublier un peu celui de Pelorson (Il a les deux noms dans le Who’s Who). Et je passe sur le révélation des amours Brasillach-Bardèche qu’il révéla sur le tard au grand désarroi de leurs afficionados ! Un drôle de ouistiti comme disait jadis Bernard Pivot...

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mercredi 21 août 2019 à 10h26 - par  Antoine Bombrun

Source de cette citation : article d’André Peyregne dans Var-Matin / Nice-Matin, 29 mai 2016…

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NICE (06) : cimetière de Caucade
lundi 4 mars 2019 à 20h05 - par  faure

Jacques Toja acteur magnifique !Plus il prenais de l âge plus sa beauté s affirmai

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NICE (06) : cimetière de Caucade
dimanche 28 octobre 2018 à 19h00 - par  Rostislav Tolchinsky

Il est le vrai roi-joué et Louis XIV et Louis XV et bien sûr charmant Aramis

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NICE (06) : cimetière de Caucade
dimanche 13 décembre 2015 à 15h38 - par  Chantal DELEAGE

Jacques Toja fut un magnifique acteur. Remarque de cp concernant le livre de Nathalie Rheims. Il était peut-être un peu tard pour écrire ce roman/autobiographie. Jacques Toja n’est plus là pour se justifier, pour se défendre. Où commencent le rêve et le fantasme ? Nathalie Rheims a-t-elle été vraiment une victime ??? Cet acteur de grand talent et à l’élégance naturelle inégalable garde toute mon admiration (même si j’admets que ce fut une grave faute de succomber, si ce qui a été écrit est la réalité).

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samedi 6 octobre 2018 à 10h22 - par  Vanka

Nathalie Rheims n’a en aucun cas été une victime,ne salissez pas,surtout sur la tombe du sublime Jacques Toja,cette liaison qui ne fut qu’amour.
Que cet acteur de génie et homme merveilleux,qui possédait à la fois la beauté physique,et surtout celle d’une âme pure,repose en paix et dans la lumière.

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dimanche 13 décembre 2015 à 16h40 - par  cp

Un peu conformiste sur le plan artistique, mais très audacieux sur le plan des mœurs ! Et le goût de chair fraîche. Passer de Maurice Escande à la une délurée de treize ans, on compatit. Du genre qui aurait pu le conduire en prison. Mais bon, Denise Bombardier n’était pas avisée...

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NICE (06) : cimetière de Caucade
dimanche 5 juillet 2015 à 11h28 - par  faure

une pensée pour Jacques Toja Acteur magnifique d une beauté à couper le souffle part bien trop tot

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mercredi 26 août 2015 à 17h59 - par  cp

Je ne piperai mot sur ce que nous apprend Nathalie Rheims de Jacques Toja dans son dernier livre !

NICE (06) : cimetière de Caucade
samedi 23 août 2014 à 10h49

ou est enterré exactement Jacques Toja ?
acteur magnifique ! Une classe folle et la beauté en prime !!

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samedi 23 août 2014 à 22h04 - par  MARRY Ghislain - EVIGNY (Ardennes)

Le brillant comédien Jacques TOJA - homme de théâtre avant tout - , décédé à Neuilly-sur-Seine le 23 mars 1996 à l’âge de 66 ans, a été inhumé au cimetière de Caucade à Nice, dans le carré 43, au 4ème rang (Sud) et à la 4ème tombe ( Est ).

(Sources : Mairie de Nice - Max VIAL )

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NICE (06) : cimetière de Caucade
mercredi 10 août 2011 à 18h36 - par  Dupont François

Merci Ghislain pour l’info,bonne journée

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NICE (06) : cimetière de Caucade
lundi 8 août 2011 à 09h12 - par  Dupont François

Je n’ai pu le vérifier par moi-meme vu que j’habite en Belgique (ou ce qu’il en reste),mais il me semble que le pilote de Formule 1 Jean Behra soit enterré dans le cimetière de Nice,est-ce vérifiable,merci d’avance,François

Site web : Jean Behra
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jeudi 29 décembre 2011 à 18h43 - par  un niçois qui a vu ces obseques

jean behra est enterre au cimetiere saint barthelemy

Logo de MARRY Ghislain - EVIGNY (Ardennes)
lundi 8 août 2011 à 10h19 - par  MARRY Ghislain - EVIGNY (Ardennes)

@François Dupont : Bonjour. Le célèbre et impulsif pilote de course automobile Jean BEHRA est décédé accidentellement le 1er août 1959 à l’âge de 38 ans, lors du Grand Prix d’Allemagne au volant de sa Porsche.

Il n’est pas enterré au cimetière de Caucade, mais au cimetière de Saint-Barthélémy à Nice, sa ville natale, cimetière situé sur une colline au nord-ouest du centre-ville.

Cordiales salutations du pays de Rimbaud et bonne journée entre deux ondées.

Logo de Ann Kelly-Bonnefoy
NICE (06) : cimetière de Caucade
mercredi 28 janvier 2009 à 10h41 - par  Ann Kelly-Bonnefoy

Il y a trois cimetières à la Caucade, Nice.

1. Cimetière de la Caucade (le plus grand)
2. Cimetière St Marguerite (en face) et anciennement Cimetière des Anglais
3. Cimetière Russe (privé)

Les deux premiers appartiennent à la Mairie de Nice

Notre association 1901 Riviera Memories est en train d’essayer de faire protéger le No. 2 en l’inscrivant aux Monuments Historiques.

Merci à tout le monde qui pourrait nous soutenir. Une pétition a été ouverte :

www.ipetitions.com/petition/
savethecemetery

Ignorez la deuxième page de ce site Web.

Nous avons une vidéo sur notre site Web qui montre l’état des anciennes tombes :

www.rivieramemories.com

Cette vidéo est aussi sur Youtube : save the cemetery

La première étape est déjà franchie : feu vert de la part de la SDAP06.

Merci pour votre site : très instructif.

Ann Kelly-Bonnefoy
President, Riviera Memories

jeudi 27 août 2009 à 16h56

Le cimetière russe se situe en face du cimetière 1 mais en retrait (derrière le cimetière des anglais, qui est maintenant appelé cimetière Ste Marguerite). Il n’est pas visible de la rue mais il y a un panneau en russe.

Ann
info@rivieramemories.com

dimanche 26 avril 2009 à 10h03

Est-ce que le cimetière russe se trouve dans l’enceinte du Cimetière 1 (le plus grand) ?
Merci par avance
gabipeinado@free.fr

Brèves

Mise à jour et conseils aux contributeurs

samedi 29 octobre 2022

Je suis en train de remettre à jour toutes les rubriques qui listent le plus exhaustivement possible le patrimoine funéraire de tous les départements. Tous les cimetières visités par moi (ou par mes contributeurs) y sont portés, mise-à-jour des couleurs qui n’étaient pas très claires dans les versions précédentes (le noir apparaissait vert), rajout de tombes depuis les visites, photos de tombes manquantes... N’hésitez pas à les consulter pour y trouver la version la plus globale du patrimoine. Ces rubriques représentent les listes les plus complètes que l’on puisse trouver sur le net du patrimoine funéraire français.

Contrairement aux articles, vous ne pouvez pas interagir sur les rubriques : aussi, si vous avez une information nouvelle à apporter sur un département, merci de laisser votre message en indiquant clairement le département et la commune concernée sur un article dédié uniquement à cela : Le patrimoine funéraire en France : classement par départements

Merci et bonne lecture.

Qui est derrière ce site ?

vendredi 14 février 2014

Pour en savoir un peu plus sur ce site et son auteur :

- Pourquoi s’intéresser aux cimetières ?
- Pourquoi un site sur les cimetières ?
- Qui est derrière ce site ?